Aide

Contes à la pleine lune au campus de Schoelcher

Rendez-vous devant la BU à 19 h !

La BU du campus de Schoelcher, en partenariat avec l'association AMI vous propose, jeudi 21 mars à 19h, une soirée "Contes à la pleine lune" qui se tiendra devant le bâtiment de la bibliothèque, en extérieur. Conteurs, passeurs de paroles, diseurs d'histoires, raconteurs d'aventures... l'AMI réunira ainsi plusieurs de ces magiciens de l'imaginaire, avec en toile de fond la pleine lune (ce 21 mars, donc), et tout ce que ce phénomène véhicule de mythes et croyances, de conséquences réelles ou supposées sur nos organismes, notre environnement et notre imagination. A noter que les conteurs amateurs sont les bienvenus, sur des thématiques de leur choix ; leur contribution sera vivement encouragée et accueillie avec bienveillance !

Pour les non initiés, relayons cette définition sommaire mais éclairante extraite d'un site dédié : "La pleine lune est une phase lunaire. Sa particularité est le fait que c'est le moment où presque toute la surface de la Lune est éclairé par le Soleil. C'est donc durant la pleine lune que la Lune apparaît la plus brillante depuis la Terre."

Entrée libre et gratuite, venez nombreux !

 

Sur le sujet

 

  • Elibris - ouvrages électroniques (abonnés UA)

Léon Tolstoï. Contes et nouvelles, [Domaine public] 2014

Jala. Majolay, ou l'art du contre créole. Ed. Lafontaine, 2006

 

  • La Montagne.fr [quotidien régional Auvergne-Limousin]

La pleine lune influence-t-elle notre quotidien ? Des professionnels démêlent le vrai du faux. La Montagne , 20.12.2018

Myhte ou réalité ? La pleine lune est parfois synonyme de croyances extravagantes… S’il est vrai que le satellite de la Terre impacte les marées, il aurait, d’après les superstitions, aussi des effets sur le corps humain.

 

  • CAIRN – Revues en SHS (abonnés UA)

Monzani Stefano, « Pratiques du conte : revue de la littérature », La psychiatrie de l'enfant, 2005/2

“ Le conteur ordinaire raconte comment quelque chose a pu se produire incidemment. Le conteur de talent le fait se produire sous nos yeux comme si nous y étions. Le maître, lui, raconte comme si quelque chose qui s’est produit il y a très longtemps se produisait de nouveau. ” Hugo von Hofmannsthal,

Lombardi Édith, « Conter à des femmes africaines demandeuses d’asile », Empan, 2016/1

Il se trouve qu’au cours de mon accompagnement de femmes victimes de violences, j’ai reçu et reçois des jeunes femmes africaines demandeuses d’asile. À diverses reprises, des contes, des mythes me sont venus, afin de rejoindre ces femmes et de réussir à leur parler, là où elles pouvaient, elles aussi, me rejoindre et m’entendre. C’est de ces rencontres à l’aide du conte, et du conte au cours de ces échanges, dont je vais parler.

Dembele Alexis, « Parler comme un conte, ou l’art de transmettre la connaissance en Afrique », Hermès, La Revue, 2015/2

Dans les sociétés d’oralité, peut-être un peu plus que dans celles qui privilégient l’écrit, parler montre et démontre. Mais ici et là, comme le souligne Matthieu Mermoud (2003) : « La parole est créatrice de la communauté humaine : elle en constitue les fondations premières. Qu’elle soit écrite ou orale, il y a toujours dans l’énonciation une puissance fondatrice »

 

  • HAL – Archives ouvertes CNRS (accès libre)

Julien D'Huy. Rôle de l'émotion dans la mémorisation des contes et des mythes. Mythologie française, Paris : SMF ; Grasse : SMF, 2013

Comment le facteur émotionnel suscité par la plupart des contes et des mythes en facilite-t-il la mémorisation?

 

  • OpenEdition – revues en SHS (accès libre)

Kasereka Kavwahirehi, « La littérature orale comme production coloniale », Cahiers d’études africaines [En ligne], 176 | 2004

Cet article part du contexte colonial d’invention ou production de la littérature orale grâce à des transcriptions en langues africaines « normalisées » par les agents de l’entreprise de conversion culturelle, ou des traductions en langues européennes, pour savoir comment approcher ces corps de textes transcrits ou traduits en contexte postcolonial. L’on envisage la nécessité d’une approche dé-constructrice : il s’agit précisément d’une ré-écriture ou re-traduction de ces textes pour y inscrire l’hétérogénéité combattue par l’essentialisme du discours colonial.

 

  • Manioc- Bibliothèque numérique Caraïbe-Amazonie

Lire et dire pour le plaisir. Vidéo. Soirée spéciale Frantz Fanon, avec lectures, mise en espace et musique. BU Martinique, 2015